Alexandra Louise Amélie Hawke
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ÂGE – 22 ans. DATE DE NAISSANCE – 16 mai 1995. ORIENTATION SEXUELLE - Hétérosexuelle. STATUT SOCIAL - Aisé. MÉTIER – Gestionnaire de la marchandise aux docks
Votre caractère
Alexandra a un caractère assez fort. Elle cherche à acquérir plus d'indépendance, notamment en déménageant dans peu de temps. Elle est persévérante, et parfois même têtue : quand elle veut quelque chose, elle essaie toutes les possibilités pour l'obtenir. Cependant, elle garde les pieds sur terre et est plutôt consciente de ses capacités. Elle reste honnête avec elle-même, tout comme elle est honnête avec les autres. Quand quelque chose ne lui plaît pas, elle n'hésitera pas à le dire. Elle n'est pourtant pas impulsive, elle aime prendre son temps, et cherchera plus souvent les mots pour le dire de la façon la plus diplomatique (enfin selon sa conception du mot). Elle apprend également à connaître les gens avant de les juger, même si ses parents ont essayé de lui apprendre le contraire. D'ailleurs, son éducation fait qu'elle se comporte parfois comme une enfant gâtée, bien qu'elle cherche à tout prix à éviter qu'on l'associe à ce que ses parents sont. Elle les aime énormément, mais elle voudrait simplement décider de sa propre vie, sans être jugée uniquement en fonction de ce qu'eux ont accompli : elle aimerait être jugée en fonction de ce qu'elle va accomplir elle...
Votre histoire
Je suis née à Hell Ground le 16 mai 1995, dans la famille Hawke. Ma mère, anciennement Amélie Delacourt, a épousé mon père, Aurélien Hawke, peu avant ma naissance. De ce que j'en sais, c'était un mariage arrangé, mais ils ont appris à s'aimer, et à m'aimer. Peut-être un peu trop parfois. J'ai été choyée comme toute fille unique venant d'une famille aisée. J'ai eu une enfance heureuse, j'ai pu m'épanouir dans cette famille qui me donnait son amour. Je n'ai jamais manqué de rien, et pour cela je leur suis très reconnaissante.
Lorsque je suis arrivée au collège, et plus particulièrement au lycée, je suis entrée dans une période un peu plus sombre. Je me suis rebellée, j'ai été contre leur autorité. J'ai traîné avec des personnes pas très nettes, pendant un certain temps. Je n'ai jamais fugué, mais je suis parfois rentrée tard dans la nuit. Lorsque c'était le cas, ma mère était la plus virulente : elle criait et criait encore après moi, car elle ne pouvait pas supporter que je fréquente des jeunes « délinquants », selon ses mots. À l'époque, je les prenais pour mes amis, tout simplement. C'était ma bande de potes. Pour la plupart, ils n'avaient pas un sou en poche. Ou ils le gagnaient en vendant de la drogue. Mais ça, je ne l'appris que plus tard. Ma participation à leur bande ne fut pas de cet ordre, en tout cas pas au début. Nous nous retrouvions dans un vieil entrepôt abandonné et un peu éloigné des docks. Nous écoutions de la musique, nous rigolions, nous vidions notre sac sur notre vie pourrie. Enfin, je devais avouer que j'avais parfois du mal à me plaindre de ma vie, car comparée à la leur elle n'était pas si mal. J'avais des parents très (trop) présents, je vivais dans une belle maison au nord de la ville, et je n'avais jamais manqué de rien, contrairement à eux. Alors, j'écoutais plus que je ne parlais. Mais je me sentais bien.
Jusqu'au jour où celui que nous considérions comme le leader de notre groupe, Martial, déposa plusieurs sacs de poudre blanche sur la table. Jusqu'alors, j'avais quelques doutes sur mes amis, mais ils restaient mes amis et je leur faisais confiance. Mais ce jour-là, Martial avait décidé qu'on allait « s'en mettre une bonne ». Il commença à préparer le matériel, il étala la poudre sur la table et la tassa d'un geste expert. Bon, je n'étais pas très à l'aise, ce n'était pas mon truc, mais si c'était le sien je ne dirais rien. Il s'enfila la première ligne, puis la deuxième et la troisième. Et il fit passer la paille. J'étais de moins en moins à l'aise, alors que cela semblait être normal aux yeux de mes « potes ». Mais ça ne l'était pas pour moi... Quand Nathan me tendit la paille, je refusai. J'aimais traîner avec eux, mais jamais je ne me droguerais. Cependant, j'avais apparemment surestimé leur amitié. Comme je ne voulais pas participer à l'initiation des « nouveaux » (cela faisait déjà plus d'un an que je faisais partie de la bande, pourtant), Martial s'est emporté. Et il m'a fait peur. Si bien que j'ai détalé sans demander mon reste. Maël l'a empêché de me courir après, pendant que le leader m'insultait de tous les noms en hurlant comme un enragé. Je ne l'avais jamais vu dans cet état. Et je ne l'ai jamais revu par la suite non plus. Je ne voulais plus le croiser, jamais. J'ai appris il y a quelques années qu'il avait été arrêté par la police et qu'il coulait à présent de doux jours en prison suite à une altercation musclée avec un autre dealer. J'en fus soulagée.
Après cette épisode quelque peu compliqué et une explication vague à ma mère sur le pourquoi de mon retour en larmes et tremblantes, je n'ai plus approché de la bande. Je suis rentrée dans le rang, et mes relations avec mes parents s'améliorèrent à nouveau. Je terminai ma scolarité et entrepris un bachelier en secrétariat. Malgré le fait que notre famille avait les moyens, mes parents avaient toujours encouragé le travail. Un an avant la fin de mes études, je suis retombée sur Maël lors d'une soirée avec d'autres étudiantes. Je voulus l'éviter, ayant décidé de tirer un trait sur cette partie de ma vie, mais il insista. Ce soir-là, il m'expliqua qu'il avait lui aussi pris la décision de quitter la bande ce fameux jour, car Martial avait été trop loin. Il se prenait pour le meilleur, il n'en faisait qu'à sa tête et devenait de plus en plus violent. Maël avait quitté le bateau avant qu'il ne coule et s'était rangé. Il travaillait à présent aux docks et s'y sentait bien.
Mes études supérieures terminées, je fis part à mes parents de mon désir de voler de mes propres ailes. Cela fut difficile à négocier, mais je voulais me débrouiller seule dans ce nouveau départ. Nous avons conclu que, lorsque j'aurais gagné assez d'argent, je pourrais louer un appartement seule. Ils me laissaient jusqu'à mes 25 ans pour me construire une vie et, si à cette période je n'avais pas réussi, ils me viendraient alors en aide. Même si j'étais persuadée de pouvoir m'en sortir seule, cette sécurité ne me déplut pas. Après tout, elle montrait également tout l'amour qu'ils éprouvaient à mon égard.
Étonnamment, ce fut Maël qui me dégotta un job aux docks il y a six mois. Ils avaient besoin d'une personne pour s'occuper de la gestion des stocks d'import et d'export, et il me recommanda. Après avoir passé plusieurs entretiens, je fus engagée. Trois mois plus tard, j'adoptai une petite femelle husky, que j'appelai Nyx. Je prépare actuellement mon déménagement, ayant signé le bail pour un petit appartement dans la banlieue sud. Mes parents eurent d'ailleurs du mal à accepter que je parte si loin, mais j'avais vraiment besoin de ça pour me sentir adulte et responsable.
Très bientôt, ma nouvelle vie commencera. Et je suis prête à la vivre pleinement !
Votre famille
Elle a été élevée par Amélie Delacourt-Hawke et par Aurélien Hawke, qui sont ses parents. Cependant, son père biologique est Alex Lynch, mais seule Amélie est au courant.
Elle n'a pas de frères et sœurs ni de cousins ou cousines.
Elle considère Nyx, sa jeune husky, comme son bébé.
Votre spécialité
Alexandra est une voyante. Ou plutôt, elle le sera, quand son don décidera de se manifester. Au début, elle aura de petites visions sans conséquences, des impressions de déjà-vu, des rêves plus vrais que nature. Puis, petit à petit, elle aura des visions plus conséquentes à mesure que la magie s'intensifiera en elle.
Vos centres d’intérêt
Elle aime la mode, surtout son côté rock. Elle aime la musique, les bons livres et les énigmes. Elle aime bien calculer et organiser. Depuis peu, elle commence également à s'intéresser aux sports de combat (self-défense pour le moment), grâce à Maël, un collègue qui l'a « enrôlée » dans son club.
Signe(s) distinctif(s)
Alexandra s'est fait tatouer une série de trois petits papillons sur le poignet, un pour chaque évènement « marquant » de sa vie (l'anniversaire de ses dix huit ans, son diplôme de secrétaire et l'adoption de Nyx). Un quatrième, marquant son entrée dans la vie active et son déménagement, est prévu après ce dernier. Les papillons font chacun moins d'un centimètre.
Que pensez-vous de la malédiction ?
Alexandra en a entendu parler, mais elle n'y croit pas. Elle ne croit en rien de surnaturel, elle a plutôt les pieds sur terre et n'écoute pas ce qu'elle considère comme des légendes urbaines.
Informations supplémentaires
Choses dont Alexandra n'est pas au courant :
Aurélien Hawke n'est pas son père biologique, même s'il l'a élevée comme sa fille. Seule sa mère, Amélie, sait qui est son véritable père. Il s'agit d'Alex Lynch, l'actuel dirigeant de l'Argus. Elle a vécu une histoire d'amour interdite avec lui lorsqu'elle était bien plus jeune. Elle est tombée enceinte par mégarde. L'apprenant, ses parents ont accéléré son mariage arrangé avec Aurélien afin que les dates coïncident à peu près avec la naissance d'Alexandra. Maintenant que ses grands parents maternels sont morts, Alexandra ne peut apprendre l'information que par l'intermédiaire de sa mère.
Elle ne sait pas encore qu'elle a des dons de voyance. Ils ne se sont pas encore déclarés. Mais sa mère surveille les signes, car elle sait descendre d'une famille de sorcières, même si la magie a disparu avec la grand-mère de celle-ci (arrière-grand-mère d'Alexandra).
Elle ne sait pas encore qu'elle travaille en réalité pour l'Argus. Elle pense bosser pour une petite entreprise d'import-export basée aux docks de la ville.
PRÉNOM/PSEUDO –
Laenai.ÂGE –
26 ans.CÉLÉBRITÉ EN AVATAR –
Cara Delevingne.CODE DU RÈGLEMENT –
Validé.COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? -
Par la fondatrice UN DERNIER MOT ? -
Hâte de jouer !